La surface porte l'information

Un point d’acupuncture est dit « ouvert » s’il répond à une interrogation verticale en surface, c’est-à-dire au niveau de l’épiderme (photo 1).
Photo 1

Il est dit « fermé » s’il ne répond pas. La surface est le support de l’information.

Dans le cas d’un point fermé, l’information qu’il porte est altérée. Le point n’est plus sur sa bonne fréquence (par exemple, un point 2Rt – point Feu du méridien de Rate – fermé, a perdu sa qualité Feu).

Si on interroge en rotation dans le sens horaire ou anti-horaire (photos 2 et 3) la surface d’un point fermé, on trouve une résistance dans les 2 sens.

Photo 2
Photo 3

Après le traitement complet par la grille de lecture que nous proposons, nous pouvons vérifier que tous les points répondent à nouveau et au-delà de ça, c’est tout l’épiderme, toute la surface du corps qui répond.

A noter que le système nerveux, qui véhicule les informations sensitives et motrices sous forme d’influx, a la même origine embryologique que l’épiderme (l’ectoderme) et qu’un rapport étroit persiste entre ces 2 tissus après la naissance.

Xué, le point d’acupuncture, a aussi le sens de grotte, de caverne en chinois. Nous osons une analogie avec les trous noirs au centre des galaxies, où le même principe s’applique. Pour les cosmologistes, l’Univers est l’espace-temps lui-même, un tissu élastique – qui peut s’étirer ou se contracter – dont la géométrie est déformée par les objets qu’il contient (étoiles, planètes..). La gravité est la courbure de l’espace-temps par la masse de ces objets (Einstein).

Les trous noirs possèdent un champ gravitationnel intense (ils « engloutissent  » toute la matière, y compris la lumière, passant à proximité).

Photo 4

Les physiciens (Hawking, Susskind..) nous disent que pour savoir ce que « contient » un trou noir, il suffit de lire l’information codée à sa SURFACE (appelée horizon des événements, à partir de laquelle rien ne peut ressortir). Cette surface à 2 dimensions décrit tout ce qui se trouve dans le trou noir qui est à 3 dimensions. C’est le principe holographique théorisé par les physiciens Gerard’t Hooft, Leonard Susskind, Juan Maldacena… ou d’autres scientifiques comme Karl Pribram, Régis Dutheil.